AVIS IMPORTANT A TOUS :
Aujourd'hui, je vous demanderai de vous intéresser à une association et l'aider de votre mieux dès qu'elle en aura besoin.
Par notre soutien, notre action conjuguée rapide et internet :
Nous pourrons peut-être sauver principalement des enfants en danger et agir pour la prévention
de tels actes autour de nous...
Plus notre intervention ricochera, plus l'impact en sera important !
JE COMPTE SUR VOUS...
Merci à vous TOUS !
~~~~~~~~~~~~~~
IL S'AGIT DE :
FABRICE ASSOCIATION ET PREVENTION
(LUTTE ET PREVENTION CONTRE LES ENLEVEMENTS) :
Association de lutte contre les Enlevements
18 juin 2009
Consultez et imprimez la nouvelle affiche APEV 2009
sur la rubrique (photo) "avis de recherche"
07 avril 2009
FABRICE ASSOCIATION PREVENTION est une association de prévention et de lutte contre les enlevements.
Son but est de mettre en place des actions de prévention auprès des
jeunes enfants, et ceci contre les menaces de la rue.Notre objectif est
de diffuser largement un message de prévention aupres du jeune public.
Nous nous efforcerons de leur faire prendre conscience des situations à
risques, d’hypothétiques mauvaises rencontres avec certains adultes.
Nous chercherons ensemble quelques conseils efficaces de sécurité.
SOUVENEZ VOUS BIEN...
QUE CELA N'ARRIVE PAS QU'AUX AUTRES !
Tous les régions sont touchées, personne n'est à l'abri du passage à l'acte d'un predateur. Ils sont là, parmi nous, tapis dans l'ombre...
......RESTEZ SUR VOS GARDES !
Cliquez pour agrandir et imprimer ...
Fatima Saiah,
21 ans, a disparu le 7 mai 2008 à Marseille. Toute personne susceptible
d’apporter un élément permettant de la retrouver, est invitée à
contacter le 01 40 97 80 16. L’APEV diffuse cette semaine un clip pour Fatima sur l’ensemble des chaînes de télévision. Pour voir le clip pour Fatima : www.apev.org
....... Aidez-nous à retrouver Fatima.
Aurélien P
ollet, 18 ans, a disparu le 9 janvier 2008 à Coquelles dans le Pas de Calais :
1,75
m, très mince, yeux bleus, cheveux châtains clairs, au moment de sa
disparition, il était chaussé de baskets et vêtu d’un survêtement bleu
sombre à capuche. Votre témoignage permettra peut être
de retrouver Aurélien. Toute personne susceptible d’apporter un élément
permettant de le retrouver, est invitée à contacter le 01 40 97 80 16.
En
collaboration avec l'Office Central pour la Répression des Violences
aux Personnes et la Gendarmerie Nationale, et avec le soutien du
Ministère de la Justice, durant tout le mois de mai, l’APEV diffuse un
clip d'appel à témoins sur l’ensemble des chaînes de télévision.
Pour voir le clip pour Aurélien : www.apev.org
Télévisions,
radio, presse écrite, nous avons besoin de vous. Relayez massivement
cet appel à témoins, en permettant la diffusion de ce clip,
Aidez-nous à retrouver Aurélien.
Nous
sommes le Vendredi 21 Juillet 1995. Karine sort de la piscine
municipale. Il est 17h45, elle décide de rentrer chez elle (Lotissement
porte Pilate à Redon). Son agresseur veille, il récupère sa bicyclette
et suit Karine de loin. Elle emprunte la rue des douves, rue Marechal Foch, rue
notre dame, rue de la barre et rejoint l’Étang du Thuet. Elle espère
par ce raccourci, rentrer au plus vite à la maison familiale.
Malheureusement pour elle, elle n’y arrivera jamais. Son agresseur
profite de ces quelques minutes où il est seul, à l’abri des regards…
Karine est assassinée le 21.07.1995 par un individu multirécidiviste.
Elle est décedée vers 19h00. Son agresseur, père de 3 enfants,
redonnais lui aussi, revient en pleine nuit sur les lieux, afin de
récupérer, et dissimuler les vêtements de
sa victime. Karine est retrouvé vers 8h00 le lendemain, le Samedi 22
juillet 1995 par 2 membres de sa famille et ceci à quelques centaines
de mètres de leur domicile. Toute la ville est sous le choc. L’ombre
d’un prédateur sexuel hante les habitants pendant plusieurs jours. Une
semaine après, l’agresseur âgé de 32 ans est arrêté (samedi 29
Juillet). Il est condamné à la réclusion criminelle à perpétuité,
assortie d'une peine de sûreté de 30 ans, par la cour d'assises
d'Ille-et-Vilaine. La magistrate lui a signifié sa mise en examen
portant sur trois chefs :
* Viols commis sur un mineur de quinze ans accompagnés, précédés ou suivis de tortures ou d’actes de barbarie. * Meurtre sur mineure de quinze ans précédé ou accompagné de viols et de tortures ou d’actes de barbarie ; * Ensemble de crimes commis en état de récidive légale pour avoir déjà été condamné par la cour d’assises des Yvelines, le 14 décembre 1987, à la peine de dix ans de réclusion criminelle pour viol et tentatives de viol sur mineure de quinze ans.....
Karine aimait la vie. Elle a eu le malheur de croiser un individu déjà condamné à dix années de prison, le 14 décembre 1987, pour viol et tentatives de viol sur mineure de quinze ans. Cependant il avait été libéré au bout de cinq années d’emprisonnement, en 1992. Il était venu s’installer à Redon l’année suivante.
FABRICE a disparu le 31 Juillet 1993 à Rennes.
Il à été déposé par son père sur l'axe Rennes/Nantes pour se rendre en
Espagne en stop. Depuis ce jour ses parents n'ont plus aucune
nouvelle...Il est né le 03 aout 1973 et avait donc 20 ans au moment des
faits. C'est un homme de 1m70, droitier, avec une pomme d'Adam
saillante. Il à une petite tâche de vin sur la nuque à la base des
cheveux.
Pour toutes informations contacter sr35@gendarmerie.defense.gouv.fr
Depuis toujours, les parents ne cessent de répéter à leurs enfants de se méfier des inconnus. Mais pour un enfant, la notion d’inconnu se résume à une personne potentiellement dangereuse. Et lorsque celui-ci est gentil, souriant et sympathique, pour eux le danger s’éloigne. Et dès qu’ils adressent la parole une fois puis une seconde fois avec quelqu'un qu'ils n'ont jamais vu, ils ne le considèrent plus comme tel. Toutefois, ils doivent savoir dire non si quelqu'un les aborde et s'ils se sentent mal ou apeurés qu'ils n'hésitent pas à s'échapper de cette situation le plus vite possible et à en parler à quelqu'un en qui ils ont confiance.
Un conseil essentiel pour éviter tout danger: les enfants doivent toujours être accompagnés d'un ami, lorsqu'ils vont quelque part où lorsqu'ils sortent pour jouer.
Il peut arriver à un enfant de se perdre, par exemple dans un supermarché ou dans un parc. Avant que cela n’arrive, il est nécessaire qu’il connaisse certaines recommandations. La première: ne pas s’affoler. C’est une règle essentielle. Il faut également qu’il ne bouge en aucun cas de l'endroit où il a perdu la trace du proche avec qui il était. Ce sera plus facile pour l’adulte accompagnant de le retrouver. Pour attirer l’attention, il peut faire du bruit, même de crier. Et plutôt que de rester seul, mieux vaut qu’il cherche du regard les personnes en uniformes (personnel de sécurité ou agents de rayons) ou s'il n'y en a pas d'une mère avec ses enfants.
Les enfants de 11 à 17 ans, malgré leur âge avancé, ne sont pas à l’abri du danger et doivent être protégés. Il est ainsi nécessaire qu’une personne de confiance ou les parents soient au courant de là où ils vont. De même que leurs petits frères et sœurs, ils ne doivent rien accepter de qui que ce soit et monter dans aucune voiture.
Toutefois aujourd’hui mettre en garde son enfant au sujet des inconnusne suffit plus, dans la mesure où l'expérience démontre que la plupart des enfants enlevés, le sont par des proches ou des gens qu'ils connaissent.
06 avril 2009
Diffusez le nouveau numero européen
Tel. : 1 1 6 0 0 0
Quatre ans après l'enlèvement et le meurtre du garçon de 11 ans, près de Saint-Nazaire, justice et gendarmerie ouvrent un site Internet (1). Dans l'espoir de recueillir enfin « le témoignage décisif ».
SAINT-NAZAIRE.
- Depuis hier, sur le site Internet www.dossierjonathan.com, justice et
gendarmerie proposent un état des lieux de l'affaire Jonathan. Un
nouvel appel à témoins est lancé, quatre ans après l'enlèvement et le
meurtre, à ce jour non élucidés, de ce garçon de 11 ans, dans la région
de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique).
Jonathan, originaire du
Cher, séjournait dans un centre de vacances à Saint-Brévin-les-Pins. Il
avait été enlevé dans la nuit du 6 au 7 avril 2004. On a retrouvé son
corps le 20 mai, 25 km
plus loin, à Guérande, immergé dans une mare, ligoté et lesté d'un
parpaing. Depuis, les enquêteurs ont accumulé 1 500 prélèvements ADN et
7 000 pièces de procédure compilées dans un dossier de vingt tomes. Mais ils sont toujours à la recherche du « témoignage décisif » dans cette enquête « redoutablement complexe », a rappelé hier Jacques Noguellou, procureur adjoint de Saint-Nazaire, en présentant le site.
« Beaucoup d'autres traces »
« Ce n'est pas un gadget mais un outil moderne, plaide le magistrat. Il
nous faut réveiller des souvenirs chez des gens, aux quatre coins de
France ou du Monde. Souvent, ils se rendent compte très tard qu'ils
sont en possession de détails importants ».
Il faut « réveiller les
mémoires », martèle à son tour le lieutenant-colonel Pierre Poty,
commandant la section de recherche de Rennes, dont dépendent les 15
gendarmes de la « section Jonathan ». « In fine, il s'agit de recueillir les témoignages de gens qui ne souhaitent pas se rendre à la gendarmerie ».
Le
site Internet présente « les lieux visités par la colonie de vacances à
partir du 31 mars 2004. Pour nous, c'est le centre du problème, le
centre du site ». Photos, cartes et commentaires détaillent les
excursions sur les plages, le centre nautique, les marais salants de La
Turballe, une partie de pêche à pied. Là où, en présence du futur
meurtrier, auraient pu se jouer les prémisses du drame.
À chaque page, le visiteur est invité à se remémorer
des faits jugés anodins de prime abord, et à s'en ouvrir par mail à la
gendarmerie. L'internaute est bien une nouvelle cible. « Sa
caractéristique, confirme le chef d'escadron Francis Hans, c'est de ne
pas être devant le JT de 20 h, ni de lire la presse quotidienne, mais
d'être présent devant la 'Toile'. Nous ne nous sommes pas encore
adressés directement à lui. »
Le procédé, déjà testé en Allemagne,
permettra-t-il enfin de faire émerger la vérité ? Les investigations,
peut-être orientées « de manière trop étroite » au départ (Ouest-France
du 5 avril), embrassent à présent de nouvelles pistes. Par exemple,
l'enfant n'aurait peut-être pas été séquestré un mois mais seulement
quelques heures. « La séquestration a bien eu lieu mais combien de
temps ? On ne saurait le dire », souligne Jacques Noguellou
Faute
d'éléments probants, ou faute de pouvoir les communiquer dans l'intérêt
de l'enquête, magistrat et gendarmes ont beaucoup insisté hier matin
sur leur « devoir » et leurs « motivations » à faire leur affaire du
drame humain vécu par la famille : « Après une épreuve insoutenable,
elle doit subir une attente qui n'en finit pas. »
Jean DELAVAUD.
05 avril 2009
La
police a diffusé jeudi le portrait-robot d'un homme soupçonné d'avoir
voulu kidnapper une fillette vendredi dernier à Plaisir (Yvelines). De
type européen et de corpulence normale, l'homme mesurant 1m70 a des
cheveux poivre et sel avec des moustaches et un petit bouc. Coiffé d'un
chapeau blanc, il serait propriétaire d'un cabriolet noir.
Il est suspecté de s'être introduit le 20 mars dans l'école primaire Albert-Camus à Plaisir. Il aurait abordé une fillette en classe de CE1-CE2 qui participait à une course d'orientation et lui aurait proposé des bonbons. Devant le refus de l'enfant, il l'aurait empoignée et tenté de l'emmener de force. Venu à son secours, un de ses camarades a donné des coups de pied et de poing à l'inconnu avant d'appeler à l'aide d'autres enfants, provoquant la fuite de l'agresseur.
14 novembre 2008
C’est le nombre impressionnant (de la liste malheureusement non-exhaustive) de mineurs de moins de 15 ans assassinés depuis janvier 1976. Vous retrouverez celle-ci dans la rubrique "Une Pensée....".
Quelques-uns de ces noms, vous évoquerons certainement des images et de
tristes souvenirs. Le combat que nous essayons de mener contre les
agresseurs sexuels et ces enlèvements d’enfants est aussi le votre….
Rejoignez nous et..
RESTEZ SUR VOS GARDES !
Les enfants surfent sur INTERNET / MSN
Vos enfants sont plus ou moins naifs,
...Certains adultes le sont moins.....
SOYEZ SUR VOS GARDES !!
Pour signaler un contenu illicite de l'Internet,
veuillez consulter le site officiel
Cliquez pour imprimer !
RESTEZ SUR VOS GARDES...
Cliquez pour imprimer !
A la suite de la signature par le Garde des Sceaux de la Convention Alerte Enlèvement,le 28 février 2006, a été mis en place un système d’alerte de la population en cas d’enlèvement d’un enfant mineur.
4 CRITÈRES OBLIGATOIRES pour le déclenchement du dispositif :
1/ Il faut que l'enlèvement soit avéré....... 2/ La Victime doit être mineure...... 3/ La victime doit être en danger..... 4/ Il faut posséder des éléments d'information dont la diffusion permet de localiser l'enfant ou le suspect......
Les alertes enlèvements... diffusées sur Internet !
L’ex-secrétaire d’État aux droits des victimes, Nicole Guedj, a lancé hier, un partenariat pour la diffusion sur internet des alertes en cas d’enlèvement d’enfant. L’idée est soutenue par France télécom, Orange, SFR, Free, Google, Yahoo…. Le dispositif devrait être opérationnel le 1er Juin.
13 novembre 2008
Il faut malheureusement se rendre à l’évidence que dans la quasi majorité des cas, l’individu qui enlève un enfant se révèle être un prédateur sexuel. Le VIOL (art.222.24 Code pénal) d’un enfant de moins de 15 ans, est puni de 20 ans de prison. De plus, lorsqu’il à entraîné la mort de la victime, il est puni de 30 ans de réclusion criminelle (art. 222.25 CP). S’il est précédé, accompagné ou suivi de tortures.. ou d’actes de barbaries.. l’agresseur écopera de la réclusion criminelle à perpétuité (art. 222.26 CP)…. Mais après…………
Que faire de ces individus ignobles ? La réclusion criminelle à perpétuité n’est souvent assortie que d’une période de sûreté de 22 ou 3O ans. La "perpétuité" n’est pas synonyme de prison à vie. Après 30 ans de réclusion, le condamné peut demander sa libération ! Que fait notre système judiciaire pour protéger la société, pour protéger nos enfants de ce type d’individus ?
Il existe dans l’arsenal judiciaire quelques outils pour limiter la récidive (loi du 10 août 2007). Le bracelet électronique en fait partie (loi du 24 nov. 2005). Notons également la création en 2005 du FIJAIS, Fichier Judiciaire des Auteurs d’Infractions Sexuelles (43000 individus inscrits fin 2008). Mais il existe aussi, une peine exceptionnelle instaurée sous le gouvernement Balladur en 1994. "La réclusion criminelle à perpétuité, incompressible". Aujourd’hui, seuls 2 individus ont été condamnés à cette dernière : Pierre Bodein pour le meurtre de Julie 14 ans et de Jeanne Marie 11 ans, et Michel Fourniret pour sa longue série de meurtres (Élisabeth 12 ans, Mananya 13 ans, Natacha 13 ans, Isabelle 17 ans, Fabienne 20 ans, Jeanne Marie 22 ans, Céline 18 ans…) Espérons que la justice utilisera cette possibilité qui lui est offerte pour sanctionner les crimes les plus odieux.
Le 25 février 2008, la loi relative à la "Rétention de sûreté" est enfin crée! La rétention de sûreté est en droit pénal une mesure visant à maintenir enfermés les prisonniers en fin de peine qui présentent une dangerosité particulière, dangerosité se caractérisant par une probabilité très élevé de récidive, du fait qu’ils souffrent d’un trouble grave de la personnalité et lorsqu’ils ont été condamnés à plus de 15 ans d'incarcération. Sachez toutefois que cette loi n'est pas rétroactive..
La loi avance… trop lentement ! ROYER Jacques
Le FIJAIS (fichier judiciaire national des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes)
est un fichier informatisé crée en 2005 et géré par le ministère de la
justice (articles 706-53-1 et suivants du CPP). Il est destiné à PREVENIR LA RECIDIVE des auteurs d’infractions sexuelles
déjà condamnés. Il permet de faciliter l’identification des auteurs de
ces mêmes infractions. On comprendra évidemment l’intérêt de ce
dernier, pour mieux LOCALIER ces individus dangereux… Apres notification de leur inscription, ils ont l’obligation de justifier régulièrement de
leur adresse. Le non-respect de cette obligation constitue une
infraction pénale. Le législateur a décidé que toutes les personnes
condamnées pour des faits de meurtre ou de viol sur mineur, ou
d'agression sexuelle sur mineur y seraient inscrites pour une durée de 30 ans,
et pendant 20 ans si les faits ne sont que délictuels. Enfin et
également pour les personnes condamnées avant l'entrée en vigueur de la
loi et ayant purgé leur peine (information à verifier !).Ce fichier est accessible aux autorités judiciaires, aux officiers de Police et de Gendarmerie, les préfets et les administrations de l’Etat qui sont définies par le décret
12 novembre 2008
"J'ai peur du Monsieur".......... disponible sur le site APEV- "Petits mais futés"............... disponible sur le site APEV
- "Et toi tu fais quoi ?" publié par Endis911, dispo. APEV
- "Dangerosité et vulnérabilité en psychiocriminologie" - ed. L'Harmattan
- "Victimes de l'image à la réalité" de A. Boulay - ed. L'Harmattan dispo APEV
- "La résilience" - ed. Nathan université
- "Le coeur de l'homme" - ed. Payot
- "Criminologie et Psychiatrie" - ed. Ellipses
- "Agresseurs sexuels, théorie, évaluation et traitement" - ed. Maloine
- "Psychopathologie des agresseurs sexuels - ed. Masson
- "Agressions sexuelles, suivis thérapeuthique" - ed. Masson
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